The Times
22 mai 2018
... pas une note ne dépassait. La contribution de Sylvain Fabre aux percussions, sifflets, castagnettes, la crécelle et machine à vent saupoudrait le tout d’un poivre délicieux,...
Baroque goes nuts
22 février 2018
...Tout a été donné à un rythme approprié, vif, énergique, où ce doit être joyeux, dans d'autres endroits dramatique. Il y a également du caractère grâce à l'utilisation d'un grand nombre d'instruments à percussion, sur lesquels Sylvain Fabre a spectaculairement joué. Il y avait des tôles, des éoliennes, des tambours et des cymbales de toutes tailles. Et des tambourins.
Codalario
13 février 2018
...Sylvain Fabre était superbe en percussion, apportant toujours la couleur et le caractère nécessaires, peignant avec une efficacité totale les tempêtes, le tonnerre, les tremblements de terre et autres éléments descriptifs fondamentaux dans l'écriture de Rameau.
BaroqiuadeS
22 décembre 2017
...emportée par un vent tempétueux remarquablement figuré par un percussionniste de talent, Sylvain Fabre, dont nous avions déjà apprécié la technique lors des Funérailles royales de Louis XIV reconstituées par l’Ensemble Pygmalion à la Chapelle royale du château de Versailles. En véritable homme-orchestre de l’univers des percussions, il fait parler à merveille le sifflet comme le tonnant, le triangle aussi bien que les castagnettes.
La Libre Belgique
8 septembre 2015
Pour donner ce patchwork (ou pasticcio ou opéra-collage…) sa vie et son éclat, Daucé avait réuni des interprètes magnifiques, chacun en charge à son tour d’interventions solistes : outre la partie vocale, magnifiquement distribuée, on notera la virtuosité des percussions (Sylvain Fabre)...
Télérama
18 mai 2015
Enregistré « live » au dernier festival de Radio France et Montpellier, ce Castor et Pollux, version de 1754, confirme la suprématie instrumentale de l'ensemble Pygmalion (du violon solo raffiné de Sophie Gent, aux percussions martiales de Sylvain Fabre).
Altamusica
3 mars 2017
Emmanuelle Haïm fait une belle démonstration de force à la tête de son Concert d'Astrée. Le geste est comme souvent vif et parfois anguleux, au détriment d'une certaine opulence. L'oreille est immanquablement attirée par la fougue des pupitres de cordes, magnifiée par la virtuosité insensée du percussionniste Sylvain Fabre, capable de faire tenir un univers tout entier au bout de ses doigts.
ResMusica
9 octobre 2015
Dirigeant du geste et du regard un Concert d’Astrée en grande forme, Emmanuelle Haïm sacrifie une habituelle scansion anguleuse à un art consommé des textures et des lignes mélodiques. Mention spéciale à l’art inouï du percussionniste Sylvain Fabre, capable en un tournemain de faire défiler une marqueterie fantastique d’effets variés et de surfaces sonores…
Classicagenda
3 mars 2017
Une soirée donc en demi-teintes, longue par moments, si ce n’était pour la splendide musique de Claudio Monteverdi qu’Emmanuelle Haïm parvient à sublimer en guidant de manière précise et authenthique son concert d’Astrée, dans lequel on remarquera le percussionniste Sylvain Fabre, véritable Mercure de beauté et musicalité.